La jungle maya s’étendait marqué par un ciel d’obsidienne, où seules deux ou trois étoiles perçaient l’épais feuillage des arbres centenaires. Au cœur de cette végétation luxuriante, une cité ultime se dressait, ses temples de pierre dominant la canopée notamment des veilleurs silencieux. Les torches brillaient faiblement le long des https://johnathanpescu.myparisblog.com/34097262/l-ultime-confidence