Le vent nocturne soufflait lentement via les persiennes de l’atelier, ayant opté pour avec lui le parfum du bois fraîchement taillé et de l’encre encore humide. Les lanternes de Kyoto brillaient dans l’obscurité, illuminant les ruelles pavées où les derniers passants se hâtaient de encager chez eux. Mais à l’intérieur https://simonduavj.prublogger.com/32714270/le-destinée-scellé-de-la-voyance