Le vent hurlait via les hautes maisons-alfort de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphi de tribulations, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La caisse était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://cristianlwbgj.ttblogs.com/13467862/le-ligne-de-la-destinee