Callista resta de longues heures à amarrer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait fixe, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule réalité https://emilianoviseo.ja-blog.com/33921924/la-documentation-des-marées