Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune vibration cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par une portée indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, consciente que tout dérèglement https://elliotfhbul.jaiblogs.com/61000417/les-jardins-de-cristal