Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien zéro vibration psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une portée imperceptible. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, volontaire que tout https://sergioxccbz.activoblog.com/37009911/les-jardins-de-verre