Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au milieu de son ateliers. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une inspiration lente, une automatisme née d’un fait familial répété à tout moment. https://josueqngui.creacionblog.com/34036775/les-silhouette-qui-persistent