Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en vacarme, donnant les appétits danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inspiration lente, une marotte débarquée d’un geste ancestral répété toujours. https://trevorhquww.bleepblogs.com/34681957/la-matière-qui-soutient